C’est ce qu’avait déclaré Hatem Hachicha, le vice-président de la chambre de commerce américaine en Tunisie (AmCham Tunisia).

Il a noté que l’investissement américain est tributaire de la signature par la Tunisie de l’accord de libre-échange.

Le Maroc l’a déjà signé, la Jordanie également, et la Tunisie fait encore preuve de timidité et de protectionnisme, ce qui freine l’investissement américain.

Parmi les conditions posées, il faut revisiter la loi sur la franchise pour l’ouvrir à plus de catégories de produits, étant donné que la franchise est un modèle de développement particulièrement affectionné pour les américains.

Il faut également revisiter la loi sur la propriété intellectuelle qui recèle une grande importance pour le milieu des affaires américains.

Source: Express FM